Myriam Dessaivre est parmi les victimes au Niger

Myriam Dessaivre est parmi les victimes au NigerNous apprenons que Myriam Dessaivre est parmi les victimes au Niger. Myriam est la fille de notre regretté Jean-Marie, animateur d’Humanité Nouvelle dans la région de Toulouse, décédé en 2015.

Le site ladepeche.fr fait son portrait d’engagée humanitaire :

Myriam Dessaivre, la Toulousaine

Cela faisait presque deux ans que Myriam Dessaivre, jeune toulousaine, s’était engagée au sein de l’ONG parisienne. Elle avait œuvré en faveur de la paix en Tunisie et au Tchad, pendant près de 10 mois. Elle en a d’ailleurs fait un cheval de bataille, se spécialisant notamment sur la question des conflits internationaux.

C’est à Toulouse qu’elle étanche sa soif de voyage : après avoir passé un bac littéraire en 2012, elle va suivre des cours de communication européenne et de langue en licence, au sein de l’Institut Catholique de la Ville rose, jusqu’en 2015. Elle apprend ainsi à parler espagnol et anglais. En 2013, elle s’engage dans la vie associative toulousaine, et se charge de la communication, au sein du Secours Catholique.

Elle quitte Toulouse en 2015 pour rejoindre la capitale, où elle s’inscrit à Paris-Dauphine, pour une formation de Master en Etudes de Paix. Elle se forme pendant près de deux ans sur la logistique du monde humanitaire, avant de faire ses valises pour Bogotà, en Colombie, pendant 5 mois.

Elle rejoint l’ONG Acted en 2018, où elle mènera de nombreuses missions, chargée de planifier la logistique humanitaire sur les différents territoires qu’elle investit : nourriture, accès à l’eau, constructions d’abris… Jusqu’à sa dernière mission au Niger, où elle séjournait depuis seulement cinq mois.

Depuis l’assassinat de Myriam Dessaivre et des membres d’Acted, les réactions de soutien affluent, notamment sur les réseaux sociaux. Boris Kharlamoff, un Toulousain, faisait partie de ses camarades de promotion pendant trois ans (de 2012 à 2015) en licence européenne de communication et information à l’Institut catholique de Toulouse : “Je garde le souvenir d’une fille souriante, très à l’écoute des autres. Elle était toujours la première à venir proposer son aide. C’était quelqu’un qui allait de l’avant. Myriam était une très bonne camarade.” Le Toulousain se rappelle des engagements de la jeune femme : “Elle avait une fibre humaniste. Myriam disait qu’elle voulait faire de l’humanitaire, voyager et aller en Afrique.”

En juin 2016, lors du congrès du Mouvement de la Paix, Myriam Dessaivre avait prononcé un discours, en tant qu’étudiante en Master Etudes de Paix. Les dernières phrases de ce discours résonnent aujourd’hui de manière tragique.

“L’indignation face aux horreurs actuelles se transmet instantanément sur les réseaux sociaux, et on se retrouve directement touchés par ces nouvelles, allant même jusqu’à se dire ‘Quand est-ce que moi, je vais y passer ?’ C’est pour ça que ça ne m’étonne pas que l’on soit de plus en plus nombreux à vouloir se diriger vers des métiers de paix, peut-être simplement pour se donner les moyens de vivre dans un monde meilleur.”

Voir l’article ici : www.ladepeche.fr


Nos pensées vont à sa maman Michèle, à son frère Simon.

Répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban

Répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban

Après l’explosion dévastatrice survenue à Beyrouth le soir du 4 août, la communauté locale des Focolari et l’association Humanité Nouvelle se sont mises au travail pour répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban : les personnes touchées par la catastrophe.

L’énorme explosion du mardi 4 août à 18h10, heure locale, a causé plus de 100 morts et 4.000 blessés dans la zone proche du port de Beyrouth, la capitale libanaise. Des portes et des fenêtres en verre ont volé en éclats jusqu’à une distance de 10 kilomètres de la zone sinistrée. Le gouvernement parle d’environ 300.000 personnes sans abri.

Avant cette catastrophe, le pays des cèdres était déjà confronté à une grave crise économique, qui a été encore renforcée par les effets de la pandémie du coronavirus. Selon des sources officielles, plus de 45% de la population vit dans la pauvreté et le chômage est monté à 35%.
L’explosion du 4 août a été un autre coup dur non seulement pour l’économie et les infrastructures du Liban, mais aussi pour le moral d’un peuple qui a subi tant de violences au cours des dernières décennies.

Comme toutes les associations humanitaires, l’agence « Humanité Nouvelle » des Focolari s’est mise en marche pour répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban. Avec l’aide de la communauté locale du Mouvement, le Centre Mariapolis « La Source » à Ain Aar près de Beyrouth a été mis à la disposition de ceux qui ont perdu leur maison. Des groupes de jeunes et d’adultes se sont rendus disponibles pour aider les familles et les personnes les plus touchées, rassemblant les besoins de différentes sortes : de la nourriture au matériel de nettoyage des maisons et des appartements.

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La coordination d’urgence du Mouvement des Focolari qui interviendra par le biais des organisations AMU et AFN a été activée. Pour ceux qui souhaitent aider, les comptes courants suivants ont été activés :

Action pour un Monde Uni ONLUS (AMU)
IBAN : IT58 S050 1803 2000 0001 1204 344
Code SWIFT/BIC : CCRTIT2T
auprès de la Banca Popolare Etica
MOTIF : Urgence Liban

Action pour les Familles Nouvelles ONLUS (AFN)
IBAN : IT11 G030 6909 6061 0000 0001 060
Code SWIFT/BIC : BCITITMM
auprès de la Banca Intesa San Paolo
MOTIF : Urgence Liban

 

Vivre du tourisme en ce temps de Covid

De Cannes, nous recevons un témoignage qui peut être intitulé “Vivre du tourisme en ce temps de Covid”. Il s’agit d’une entrevue de Claire Draillard publiée dans le bulletin du diocèse de Nice et intégré à un dossier sur la situation du tourisme à l’heure de la pandémie qui nous touche tous. Ce témoignage nous a paru tout à fait en rapport avec ce que le Mouvement Humanité Nouvelle se donne comme objectifs, notamment, celui de l’espérance.

N.B. : Pour mieux lire le texte, cliquer dessus pour le faire afficher en plus grand.

Vivre du tourisme en ce temps de Covid

(re)Vivre, partager, construire

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Économie
de Communion

Communique sur son prochain week-end d’octobre
(re)Vivre, partager, construire

 

Qui peut affirmer ne pas avoir été impacté
ou au minimum profond
ément interpellé,
d’une fa
çon ou d’une autre, directement ou indirectement,
par l’épreuve du Covid 19 ?

 

(re)Vivre, partager, construire

Besoin de partager et prendre du recul sur la pandémie que le monde traverse ?

Soif de se ressourcer afin de mieux participer
au monde plus juste et plus fraternel
que chacun espère ?

N’hésitez pas !
Vous devez vous inscrire sans plus attendre

au “week-end de l’Économie de Communion”
des samedi 10 et dimanche 11 octobre 2020

Au Parc d’Arny de Bruyères-le-Châtel (91),
aura lieu un second temps fort annuel
pour l’Économie de Communion en France

Que vous soyez entrepreneur, étudiant ou retraité, salarié du public ou du privé,
nous vivrons dans la joie un temps fort d’échanges centrés sur ce moment de vie inédit
que notre monde connaît depuis quelques mois

Inscrivez-vous grâce à ce lien

Pour les autres renseignements, visiter le site internet ici.

Vous avez dit pédagogie positive

S’est bien établi : avant la rentrée, un groupe d’enseignants, d’éducateurs… et, pourquoi pas, de parents, d’étudiants se donne un rendez-vous chaque fin du mois d’août. Le thème de la journée de 2020 sera : Vous avez dit pédagogie positive.

Vous avez dit pédagogie positive