Fraternité et bien commun

La quatrième leçon de la campagne Dare to Care a pour titre Fraternité et bien commun.

Fraternité et bien communDes articles ont déjà été consacrés à ce parcours. Rappelons-nous que #daretocare est le hashtag, le slogan, de la campagne qui, traduit littéralement, signifie « Oser prendre soin ».  C’est-à-dire prendre en charge, s’intéresser, s’occuper activement, donner de l’importance. A qui ? Aux plus fragiles, à la planète, aux institutions, à notre ville, à nos voisins, aux problèmes de notre société. Elle est initiée par les jeunes du Mouvement des Focolari et veut entrainer tous les membres… et au-delà.

#daretocare se veut une action en trois étapes : apprendre, agir et partager. Dans ce cadre, aujourd’hui, il s’agit d’apprendre avec deux formateurs, tous les deux professeurs de philosophie politique à l’Institut Universitaire Sophia de Loppiano (Italie) qui dialoguent avec cinq étudiants de l’Institut :

  • Antonio Maria Bagio qui est aussi directeur du Centre de recherche sur la politique et les droits de l’homme de ce même Institut,
  • Leidy Vargas qui est aussi professeur d’humanisme et de culture urbaine à l’Université Pontificale Bolivarienne de Colombie (Medellin).

Le dialogue a été enregistré. Les intervenants parlent en italien. Les paroles sont sous-titrées ; pour obtenir sa langue, il faut cliquer sur la roue dentée qui est en bas, à droite de l’image et faire le choix.

Des panneaux photovoltaïques pour l’école de Farako Ba

Des panneaux photovoltaïques pour l’école de Farako BaLa nouvelle de la mise en place, la semaine dernière, des panneaux photovoltaïques pour l’école de Farako Ba au Burkina Faso, nous a fait plaisir, après les retards importants qu’a fait peser la Covid 19 sur ce type de travaux. Ce projet s’inscrit dans la volonté de membres d’Humanité Nouvelle en France de « compenser » les émissions carbone dues aux déplacements qu’ils ne peuvent éviter (nos déplacements sont l’une des principales sources des émissions carbone à l’origine du dérèglement climatique).

Un projet d’équipement « vertueux », pour compenser des émissions de carbone que l’on ne peut éviter.

En France, des membres d’Humanité Nouvelle avaient analysé en 2019 l’impact de leurs émissions « carbone » du fait des déplacements qu’il leur semble impossible d’éviter, dans cette idée de « compensation carbone » qui puisse financer une action qui Des panneaux photovoltaïques pour l’école de Farako Baréduira d’autant le carbone émis[1]. Avec l’ensemble des participants engagés dans cette démarche, il s’agissait ensuite de trouver une action pertinente à financer.

Le choix s’est porté sur l’équipement en panneaux solaires pour l’éclairage d’une école rurale du Burkina Faso. Dans ce projet, il s’agit surtout d’éviter l’achat d’un groupe électrogène au fuel, très polluant, et de réduire les déplacements quotidiens des élèves pour faire leurs devoirs, qui doivent se rendre en mobylette à la ville voisine vers des lieux éclairés (la nuit tombe tôt en Afrique). L’impact carbone de l’installation elle-même, qui peut fonctionner 30 ans (sauf les batteries) est considéré généralement amorti en 3 ans. Un montant de 7500 € a ainsi pu être attribué, via « Greening Africa Together (GATo), une Organisation Non Gouvernementale qui coordonne de nombreux projets écologiques à travers l’Afrique en partenariat avec Humanité Nouvelle, et à l’association Alle Hand in Hand (AHH) qui prend en charge les travaux d’équipement. La suite >

Une Journée internationale de la fraternité humaine

Une Journée internationale de la fraternité humaineLe 21 décembre, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté sans vote une résolution pour proclamer une Journée internationale de la fraternité humaine, chaque 4 février. L’initiative a été introduite par les Émirats arabes unis, le Bahreïn, l’Égypte et l’Arabie saoudite. En conséquence, la communauté internationale observera la Journée internationale de la fraternité humaine chaque année à partir de 2021.

 

Une Journée internationale de la fraternité humaineSelon l’agence de presse WAM, la résolution reconnaît spécifiquement la rencontre entre Sa Sainteté le Pape François et Son Éminence le Grand Imam d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayyib, le 4 février 2019 à Abou Dhabi, qui a abouti à la signature du “Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune”. L’Assemblée générale explique la proclamation de cette journée par l’existence “d’actes qui incitent à la haine religieuse et qui menacent ainsi l’esprit de tolérance et le respect de la diversité, en particulier à l’heure où le monde affronte la crise sans précédent provoquée par la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19), qui appelle une action mondiale fondée sur l’unité, la solidarité et le renouvellement de la coopération multilatérale”. L’Assemblée se dit consciente que “la tolérance, le pluralisme, le respect mutuel et la diversité des religions et des convictions font prospérer la fraternité humaine”.

Source : le communiqué des Nations Unies, cliquer ici.

Source : le communiqué de l’agence WAM, cliquer ici.

Pour lire le Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune, cliquer ici ou télécharger le texte ici.

Les bonnes nouvelles du facteur

Les bonnes nouvelles du facteurGuido B. a quitté son travail et pris sa retraite. Un jour, il s’est installé devant son clavier pour nous narrer les bonnes nouvelles du facteur. Voici quelques épisodes :

“D’une certaine manière, je n’avais presque pas envie de quitter ce quartier de Hautepierre, car j’y ai vécu de belles relations avec diverses personnes.

Pour me rendre sur le quartier, je faisais un beau trajet à vélo avant d’arriver sur place car ce n’était pas près de la Poste.

Les débuts

Au début ce fut la galère, car le jeune facteur qui m’a montré la tournée était pressé de finir et ne m’a pas tout dit. La tournée n’était pas évidente car elle commençait par un bon nombre d’immeubles. Je passais beaucoup de temps à chercher les boîtes aux lettres. Comme j’étais pas mal en retard, il y avait les enfants sortis de l’école autour de moi et cela me déstabilisait.

Dans cette cité, on ne devait pas monter aux étages pour les recommandés car une factrice s’était fait voler son vélo. Mais parfois il fallait bien le faire pour des personnes à mobilité réduite. Un matin, j’étais allé au premier étage et le monsieur après avoir signé, m’invita à prendre un café que j’ai d’abord refusé puis accepté car je savais que derrière il y aurait la discussion.

Réclamation

La suite >

Que retenir de la session des SSF

Que retenir de la session des SSFUne vingtaine de membres du Mouvement Humanité Nouvelle ont participé et nous leur avons demandé que retenir de la session des SSF qui s’est tenu de vendredi à dimanche dernier, en ligne. Ils ont été près de la moitié à nous confier leur ressenti ; pas seulement pour dire que c’était bien, que c’était beau car certains l’ont écrit en une page.

Beaucoup vont peut-être trouver cet article long mais nous avons pensé qu’il était important de pouvoir lire toutes ces impressions. Nous suggérons de le lire en plusieurs fois.

Voici ce qu’ils nous ont écrit, à commencer par Christiane G. qui nous remémore tout le programme :

“Ces 3 jours sont toujours très riches et la visioconférence a été à la hauteur et si je n’ai pas eu d’échanges avec les participants cela a été très enrichissant et formateur comme toujours.
Joie aussi de se savoir un plus grand nombre d’Humanité Nouvelle que d’habitude, ensemble. Avec certains j’ai échangé par texto et par téléphone ensuite. Le choix de la visioconférence a permis à nos amis de la région Paca d’y participer, cette fois ci.”

Vendredi après-midi : deux tables rondes
La suite >