Humanité Nouvelle
La fraternité : vivre ensemble
La fraternité : vivre ensemble
4/04/18
Ce 4 avril, nous nous souvenons de Martin Luther King mort il y a 50 ans. Ce jour de 1968, une balle l’a frappé et à mis fin à sa vie. Une occasion pour relire son discours I have a dream / Je fais un rêve prononcé le 28 aout 1963 lors de la grande marche de Washington. Cet humaniste a montré la voie des combats pour la justice, sans violence.
Lire le texte du discours en français en cliquant ici.
Accéder et regarder l’enregistrement vidéo du discours sous-titré en français.
3/04/18
Notre amie Marie-Christine de Toulouse nous signale un colloque sur les défis des technosciences. Il se déroulera du 5 au 7 avril au Centre d’enseignement et de congrès de l’hôpital de Purpan à Toulouse. Les organisateurs lui ont donné le double titre de L’être humain face aux défis des technosciences / Pour rester acteur de sa vie.
L’organisateur est le Groupe de Recherche pour l’Éducation et la Prospective de Midi-Pyrénées et il fera traiter plusieurs sujets par les intervenants et les participants :
En clôture du colloque, un appel à la régulation des technosciences au niveau mondial sera lancé. Un Manifeste pour un engagement responsable face aux défis des technosciences sera soumis à l’approbation des participants. Après son adoption, ce document sera proposé à la signature de personnalités de premier rang, puis présenté à toute la communauté scientifique réunie à l’occasion de la grande manifestation ESOF organisée à Toulouse du 9 au 14 juillet 2018.
Pour Marie-Christine et pour nous, cette manifestation entre bien dans le cadre des États généraux de la bioéthique qui se déroulent actuellement. Elle y sera, accompagnée de plusieurs membres.
Le tract de présentation et du programme est ici.
L’accès au site du colloque est ici.
30/01/18
A l’approche du dixième anniversaire de la mort de Chiara Lubich (14 mars 2008-14 mars 2018), les communautés des Focolari se préparent à le célébrer en renouvelant leur engagement à porter le ‘’charisme de l’unité’’ , la fraternité, dans la société.
Qu’a à dire et à offrir le « charisme de l’unité » aujourd’hui ? L’humanité est en train de vivre une troisième guerre mondiale fragmentée ; pauvreté et faim sont loin d’être enrayées ; les rapports personnels et sociaux subissent un effritement progressif dû à un manque d’espérance dans le changement. Et plus encore. La réponse arrive à travers de nombreux faits de vie et des initiatives de personnes qui, dans le monde entier, ont adopté les idéaux de Chiara Lubich : elles se sont engagées principalement et tout d’abord à se transformer elles-mêmes, générant ainsi partout de nombreuses œuvres sociales qui disent qu’un changement de cap est encore possible pour l’humanité.
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30/01/18
En Italie on la nomme École d’Humanité Nouvelle, il est probable qu’en France on l’aurait appelé Université…
Dans la suite de la manifestation OnCity de 2016, il s’agit d’installer un parcours de suivi. Pour rappel, l’ambition de OnCity est de créer un réseau, d’allumer comme des phares pour rendre la planète “habitable” . Ambitionner de rendre nos lieux de vie, nos cités, comme des endroits où on se sent bien ensemble parce que la fraternité y est la règle adoptée par la majorité. Quant la majorité vit de cette façon, les autres se laissent gagner, conquérir, par ce qui fait baisser les tensions. On peut écrire que OnCity, s’est “allumer” (switch on) la fraternité dans la cité.
Voir le programme de ces 5 journées en cliquant ici.
Pour nous contacter : le module de correspondance à droite de cette page.
26/01/18
Une personne de mon entourage est partie en Afghanistan et nous donne quelques nouvelles. Elle y exerce son activité professionnelle depuis le deuxième semestre 2017. Je ne donnerai ici aucun renseignement sur son identité, sur ses attaches, sur son parcours, sur l’ONG qui l’emploie sachant toutes les précautions qui sont prises sur place, par les ONG, pour garantir la sécurité de leurs intervenants. Je ferai seulement savoir qu’elle avait entrepris un premier cycle d’études universitaires puis qu’elle a choisi de se réorienter vers une nouvelle formation pour se préparer à une vocation perçue lors d’un voyage en Amérique latine : celle de travailler pour des ONG.
Pour moi, c’est toujours un plaisir d’échanger avec elle. À son retour du Liban, après un séjour de 6 mois pour son stage de fin d’étude, elle m’avait confié que les médias français informaient très mal de la situation dans le pays d’où elle arrivait. Profitons donc de ce témoignage pour nous informer.
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