“Quelle consommation désirable ?”

"Quelle consommation désirable ?"Les Semaines Sociales de France offrent un CADEAU : « Nous vous proposons de découvrir en libre accès l’intervention donnée par Roxane Sansilvestri lors de l’atelier “Quelle consommation désirable ?” de notre récente Rencontre “Osons rêver l’avenir”. Chercheure en socio-écologie et cheffe de projet au Campus de la Transition, Roxane Sansilvestri nous a offert une présentation particulièrement claire et précise sur les grands enjeux liés à la consommation dans un monde en transition. De quoi nourrir sa réflexion et indéniablement passer à l’action ! »

Pour acheter tous les replay ou les offrir, c’est ici : https://www.billetweb.fr/95eme-rencontre-des-semaines…

Glasgow : en marge de la COP26

Glasgow : en marge de la COP26, les leaders religieux présents ont pris part à plusieurs événements, occasions de connaissance et de dialogue : une s’est tenue à la Mosquée et l’autre au siège du Mouvement des Focolari. Lorna Gold, présidente du Mouvement Laudato Si’, et Martin Palmer, fondateur et président de FaithInvest, expliquent comment les grandes religions du monde peuvent être l’un des moteurs de la société civile en matière de changement climatique.

Ce reportage a été publié le 23 novembre 2021.

Une entreprise pour la protection de l’environnement

Aux États Unis, John et Julia Mundell – amis du Mouvement Humanité Nouvelle – ont créé une entreprise pour la protection de l’environnement. Leur entreprise familiale, Mundell and Associates, est née à Indianapolis dans le but de réparer les dommages environnementaux et de résoudre les problèmes causés par les déchets toxiques.

Aujourd’hui, leur action est connue dans tous les États-Unis et dans plusieurs pays. Travailler à la préservation de la terre est pour eux une vocation, un moyen de construire l’unité et de préserver notre maison commune au bénéfice des prochaines générations.

Ce reportage a été publié le 27 novembre 2021.

Ouvrons la porte au bon voisinage

ouvrons la porte au bon voisinageOuvrons la porte au bon voisinage. De son petit village – comme elle écrit – Marthe nous envoie le récit d’un épisode de leur vie de voisinage, à elle et son mari.

“Nous avons un voisin âgé, Robert, que nous ne connaissions pas. Nous savions qu’il était veuf. D’ailleurs nous l’avions appris tardivement, tellement ils étaient discrets, lui et son épouse.”

Faire connaissance par un ami commun

“Un jour, un de nos amis B. vient demander de l’aide à mon mari pour sa tondeuse en panne. Il était en train de tondre le jardin de Robert. Il va régulièrement entretenir son jardin pour lui rendre service. On est au mois de juin et les herbes sont hautes, il faut tondre souvent.

Mon mari, aussitôt est allé lui donner un coup de main. Il s’avère qu’il utilisait la tondeuse communale (il est employé communal).

Mon mari lui propose donc de finir de tondre avec notre matériel car ce n’était pas correct d’emprunter la tondeuse communale bien que ce soit pour une bonne cause. Et de continuer par la suite.”

De la rencontre à l’accompagnement

“Mon mari a ainsi fait la connaissance de Robert. Il a été choqué par son mauvais état physique car il se nourrissait mal. Depuis le décès de sa femme, il était déprimé et se laissait aller.

Nous avions un voisin malheureux juste à deux pas de chez nous et le savions pas !

Robert n’avait pas de famille pour le soutenir sauf une sœur mais plus âgée que lui et éloignée géographiquement.

Mon mari s’est décidé à lui faire à manger un jour sur deux (moi j’étais à l’extérieur par mon travail). Préparant le repas pour deux à la maison il traversait la rue avec tout son matériel et déjeunait avec lui. Il lui remontait le moral.

Le dimanche midi, nous l’invitions à déjeuner en essayant de faire des plats qu’il aimait.

En parallèle, B. notre ami lui faisait les courses.  C’était beau de voir l’élan du cœur de ces deux hommes pour Robert.

C’est en voyant leur attitude que j’ai été aspirée dans cette spirale d’entraide.Ouvrons la porte au bon voisinage

Au bout de quatre mois sa santé a décliné et il n’avait plus le goût de vivre. Lorsque son chat/compagnon est mort et avec l’arrivée de l’hiver, il a décidé de ne plus se lever. Alors avec l’infirmière qui passait tous les jours nous nous sommes relayés pour lui préparer les repas. Une belle connivence s’est installée avec cette infirmière très généreuse.

C’était difficile de convaincre Robert de manger. Petit à petit, il déclinait. Puis il a fallu l’hospitaliser.”

Jusqu’à devenir sa famille…

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SSF dans une semaine

SSF dans une semaine : le programme du dimanche 28 novembre…

Qui fera suite aux demi-journées du vendredi 26 et du samedi 27.

Pour ceux qui ne peuvent pas ouvrir le contenu de Facebook : le texte en PDF, ici.