La fraternité : vivre ensemble
A- Humanité Nouvelle
Dare to care : le défi de février
8/02/21
Aujourd’hui, nous vous présentons Dare to care : le défi de février.
Nous avons présenté Dare to care – Oser prendre soin, une initiative des jeunes du Mouvement des Focolari. Prendre soin de l’humain, prendre soin de la planète : les jeunes ont sollicité des adultes qui proposent le défi du mois de février.
Pour entrer dans le défi, cliquer sur le lien suivant : daretocare.fr. Il y sera possible de participer à la compensation carbone proposée ou/et de faire connaître l’engagement que vous avez pris. Ceux-ci seront présentés en bouquet, pour la planète.
Le Mouvement Politique Pour l’Unité aujourd’hui
5/02/21
Le MPPU a tenu son séminaire habituel les 10 et 11 décembre derniers : un visioconférence. qui a rassemblé des membres d’une vingtaine de pays de 4 continents. Le MPPU rassemble des élus, des fonctionnaires des administrations, des citoyens, des étudiants en sciences poitiques qui partagent leur vécu dans ce qu’on pourrait appeler un laboratoire d’idées autour de l’inspiration de Chiara Lubich qui fonda le Mouvement des Focolari. Le président Mario Bruno – ancien maire de Alghero, Italie – a lancé le séminaire ainsi : Le Mouvement Politique Pour l’Unité aujourd’hui, réflexion et action. En voici les principaux passages :
Nous sommes à une époque de bouleversements, confrontés à de grands défis mondiaux. […] Quelle incidence peut avoir le Mouvement Politique pour l’Unité sur la pensée et l’action politiques contemporaines ?
Ce sont là les interrogations que nous nous proposons de mûrir ensemble aujourd’hui.
Né en 1996, sous l’impulsion de Chiara Lubich (fondatrice des Focolari), le MPPU se développe sur les cinq continents. C’est aujourd’hui un réseau planétaire composé de responsables politiques, de citoyens, de fonctionnaires, de diplomates et d’universitaires. Dans sa charte, le MPPU se définit comme un laboratoire international d’innovation politique.
Son but est de :
Des panneaux photovoltaïques pour l’école de Farako Ba
5/01/21
La nouvelle de la mise en place, la semaine dernière, des panneaux photovoltaïques pour l’école de Farako Ba au Burkina Faso, nous a fait plaisir, après les retards importants qu’a fait peser la Covid 19 sur ce type de travaux. Ce projet s’inscrit dans la volonté de membres d’Humanité Nouvelle en France de « compenser » les émissions carbone dues aux déplacements qu’ils ne peuvent éviter (nos déplacements sont l’une des principales sources des émissions carbone à l’origine du dérèglement climatique).
Un projet d’équipement « vertueux », pour compenser des émissions de carbone que l’on ne peut éviter.
En France, des membres d’Humanité Nouvelle avaient analysé en 2019 l’impact de leurs émissions « carbone » du fait des déplacements qu’il leur semble impossible d’éviter, dans cette idée de « compensation carbone » qui puisse financer une action qui réduira d’autant le carbone émis[1]. Avec l’ensemble des participants engagés dans cette démarche, il s’agissait ensuite de trouver une action pertinente à financer.
Le choix s’est porté sur l’équipement en panneaux solaires pour l’éclairage d’une école rurale du Burkina Faso. Dans ce projet, il s’agit surtout d’éviter l’achat d’un groupe électrogène au fuel, très polluant, et de réduire les déplacements quotidiens des élèves pour faire leurs devoirs, qui doivent se rendre en mobylette à la ville voisine vers des lieux éclairés (la nuit tombe tôt en Afrique). L’impact carbone de l’installation elle-même, qui peut fonctionner 30 ans (sauf les batteries) est considéré généralement amorti en 3 ans. Un montant de 7500 € a ainsi pu être attribué, via « Greening Africa Together (GATo), une Organisation Non Gouvernementale qui coordonne de nombreux projets écologiques à travers l’Afrique en partenariat avec Humanité Nouvelle, et à l’association Alle Hand in Hand (AHH) qui prend en charge les travaux d’équipement. La suite >
Une Journée internationale de la fraternité humaine
29/12/20
Le 21 décembre, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté sans vote une résolution pour proclamer une Journée internationale de la fraternité humaine, chaque 4 février. L’initiative a été introduite par les Émirats arabes unis, le Bahreïn, l’Égypte et l’Arabie saoudite. En conséquence, la communauté internationale observera la Journée internationale de la fraternité humaine chaque année à partir de 2021.
Selon l’agence de presse WAM, la résolution reconnaît spécifiquement la rencontre entre Sa Sainteté le Pape François et Son Éminence le Grand Imam d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayyib, le 4 février 2019 à Abou Dhabi, qui a abouti à la signature du “Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune”. L’Assemblée générale explique la proclamation de cette journée par l’existence “d’actes qui incitent à la haine religieuse et qui menacent ainsi l’esprit de tolérance et le respect de la diversité, en particulier à l’heure où le monde affronte la crise sans précédent provoquée par la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19), qui appelle une action mondiale fondée sur l’unité, la solidarité et le renouvellement de la coopération multilatérale”. L’Assemblée se dit consciente que “la tolérance, le pluralisme, le respect mutuel et la diversité des religions et des convictions font prospérer la fraternité humaine”.
Source : le communiqué des Nations Unies, cliquer ici.
Source : le communiqué de l’agence WAM, cliquer ici.
Pour lire le Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune, cliquer ici ou télécharger le texte ici.
Les bonnes nouvelles du facteur
19/12/20
Guido B. a quitté son travail et pris sa retraite. Un jour, il s’est installé devant son clavier pour nous narrer les bonnes nouvelles du facteur. Voici quelques épisodes :
“D’une certaine manière, je n’avais presque pas envie de quitter ce quartier de Hautepierre, car j’y ai vécu de belles relations avec diverses personnes.
Pour me rendre sur le quartier, je faisais un beau trajet à vélo avant d’arriver sur place car ce n’était pas près de la Poste.
Les débuts
Au début ce fut la galère, car le jeune facteur qui m’a montré la tournée était pressé de finir et ne m’a pas tout dit. La tournée n’était pas évidente car elle commençait par un bon nombre d’immeubles. Je passais beaucoup de temps à chercher les boîtes aux lettres. Comme j’étais pas mal en retard, il y avait les enfants sortis de l’école autour de moi et cela me déstabilisait.
Dans cette cité, on ne devait pas monter aux étages pour les recommandés car une factrice s’était fait voler son vélo. Mais parfois il fallait bien le faire pour des personnes à mobilité réduite. Un matin, j’étais allé au premier étage et le monsieur après avoir signé, m’invita à prendre un café que j’ai d’abord refusé puis accepté car je savais que derrière il y aurait la discussion.
Les commentaires