A- Humanité Nouvelle

Veille de rentrée scolaire

Veille de rentrée scolaireIls étaient une vingtaine, à Paris, ce mercredi qui précédait la rentrée scolaire, à l’invitation d’Humanité Nouvelle – Éducation et de l’Association Fratern’Aide.  Une équipe d’horizons divers, riche de ses différences, venue chercher du souffle, du sens, de la relation en cette veille de rentrée scolaire.

Une diversité :

Christine était venue du Grand Est. Un groupe s’est déplacé d’Étampes  pour chercher son souffle positif et fraternel avant la rentrée. Une mention spéciale à Alper et à Carine.

Alper est arrivé en France avec sa famille il y a trois ans sans parler un mot de notre langue et qui était professeur de maths dans son pays. Il intègre l’Éducation Nationale à la rentrée, comme assistant d’éducation ; il a tout à découvrir de notre système scolaire.

 Carine qui prend une année sabbatique, va faire l’école à la maison à ses quatre enfants et prépare un tour d’Europe en famille en 2021 (si le Covid19 lui en laisse la possibilité).

 « Pédagogie positive : soi, ensemble, heureux »

Tel était le thème de la journée.Veille de rentrée scolaire

Sandra Sainflou est praticienne en psychopédagogie. Elle a proposé d’expérimenter non pas une méthode mais une posture, un travail sur soi, ensemble.

La pédagogie positive est une pédagogie de l’authenticité et de la responsabilité, elle s’exprime en « je », prohibe la négation, elle apprend à exprimer des besoins, à libérer ses émotions.

« Tu m’énerves car tu ne ranges jamais ta chambre » / « Je suis énervée de voir ta chambre dans cet état »

Au long de la journée des outils ont été testés Ils ont respiré, bu de l’eau, ri… Sandra associe la pédagogie positive à la fraternité et propose ce qui aurait pu être une autre rédaction du thème : « Pédagogie positive : présence, joie, amour »
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Répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban

Répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban

Après l’explosion dévastatrice survenue à Beyrouth le soir du 4 août, la communauté locale des Focolari et l’association Humanité Nouvelle se sont mises au travail pour répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban : les personnes touchées par la catastrophe.

L’énorme explosion du mardi 4 août à 18h10, heure locale, a causé plus de 100 morts et 4.000 blessés dans la zone proche du port de Beyrouth, la capitale libanaise. Des portes et des fenêtres en verre ont volé en éclats jusqu’à une distance de 10 kilomètres de la zone sinistrée. Le gouvernement parle d’environ 300.000 personnes sans abri.

Avant cette catastrophe, le pays des cèdres était déjà confronté à une grave crise économique, qui a été encore renforcée par les effets de la pandémie du coronavirus. Selon des sources officielles, plus de 45% de la population vit dans la pauvreté et le chômage est monté à 35%.
L’explosion du 4 août a été un autre coup dur non seulement pour l’économie et les infrastructures du Liban, mais aussi pour le moral d’un peuple qui a subi tant de violences au cours des dernières décennies.

Comme toutes les associations humanitaires, l’agence « Humanité Nouvelle » des Focolari s’est mise en marche pour répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban. Avec l’aide de la communauté locale du Mouvement, le Centre Mariapolis « La Source » à Ain Aar près de Beyrouth a été mis à la disposition de ceux qui ont perdu leur maison. Des groupes de jeunes et d’adultes se sont rendus disponibles pour aider les familles et les personnes les plus touchées, rassemblant les besoins de différentes sortes : de la nourriture au matériel de nettoyage des maisons et des appartements.

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La coordination d’urgence du Mouvement des Focolari qui interviendra par le biais des organisations AMU et AFN a été activée. Pour ceux qui souhaitent aider, les comptes courants suivants ont été activés :

Action pour un Monde Uni ONLUS (AMU)
IBAN : IT58 S050 1803 2000 0001 1204 344
Code SWIFT/BIC : CCRTIT2T
auprès de la Banca Popolare Etica
MOTIF : Urgence Liban

Action pour les Familles Nouvelles ONLUS (AFN)
IBAN : IT11 G030 6909 6061 0000 0001 060
Code SWIFT/BIC : BCITITMM
auprès de la Banca Intesa San Paolo
MOTIF : Urgence Liban

 

Vivre du tourisme en ce temps de Covid

De Cannes, nous recevons un témoignage qui peut être intitulé “Vivre du tourisme en ce temps de Covid”. Il s’agit d’une entrevue de Claire Draillard publiée dans le bulletin du diocèse de Nice et intégré à un dossier sur la situation du tourisme à l’heure de la pandémie qui nous touche tous. Ce témoignage nous a paru tout à fait en rapport avec ce que le Mouvement Humanité Nouvelle se donne comme objectifs, notamment, celui de l’espérance.

N.B. : Pour mieux lire le texte, cliquer dessus pour le faire afficher en plus grand.

Vivre du tourisme en ce temps de Covid

Vous avez dit pédagogie positive

S’est bien établi : avant la rentrée, un groupe d’enseignants, d’éducateurs… et, pourquoi pas, de parents, d’étudiants se donne un rendez-vous chaque fin du mois d’août. Le thème de la journée de 2020 sera : Vous avez dit pédagogie positive.

Vous avez dit pédagogie positive

Revoir le lancement du parcours pour oser prendre soin

Revoir le lancement du parcours pour "prendre soin"Le samedi 20 juin s’est tenu le lancement du pathway “Dare to care”. Voici la possibilité de revoir le lancement du parcours pour oser prendre soin… de l’existence des autres, de l’environnement. Cet événement a eu lieu sous la forme d’une conférence à plusieurs voix transmise en direct par internet. Son enregistrement est maintenant disponible en ligne sur le site United World Project (Projet Monde Uni) avec la traduction opérée en direct par Rita Amidi, francophone du Liban.

Ce projet est un parcours, une interpellation dans laquelle nous engagent les jeunes du Mouvement des Focolari. Une voie avec des étapes, des paliers à franchir parce que “prendre soin” n’est pas automatique. “Oser prendre soin” nécessite de “s’abandonner” à l’empathie.

Outre les témoignages qu’ils ont donnés, les jeunes ont demandé à la professeur en philosophie sociale Elena Pulcini de leur apporter son point de vue. “Il faut éveiller ce que j’appelle des “passions” empathiques. Cependant, en même temps, le soin est resté quelque peu enfermé dans une acception essentiellement assistancielle qui, en anglais, est appelé “cure” et non “care”. Alors, moi, je m’attache à ce que “soin” soit avant tout “care”. Cela veut dire que le soin doit devenir un mode de vie.” déclare-t-elle. Et, plus loin : “J’ai beaucoup aimé un philosophe du XIXe siècle, […] Alexis de Tocqueville, qui disait que “nous devons éduquer la démocratie”.”

Affaire à suivre sur www.unitedworldproject.org/fr/ / www.facebook.com/uwpofficial/