Marc BÉCHU

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Article par Marc BÉCHU

Dare to care : le défi de février

Aujourd’hui, nous vous présentons Dare to care : le défi de février.Dare to Care : le défi de février

Nous avons présenté Dare to care – Oser prendre soin, une initiative des jeunes du Mouvement des Focolari. Prendre soin de l’humain, prendre soin de la planète : les jeunes ont sollicité des adultes qui proposent le défi du mois de février.

Pour entrer dans le défi, cliquer sur le lien suivant : daretocare.fr. Il y sera possible de participer à la compensation carbone proposée ou/et de faire connaître l’engagement que vous avez pris. Ceux-ci seront présentés en bouquet, pour la planète.

Le Mouvement Politique Pour l’Unité aujourd’hui

Le Mouvement Politique Pour l'Unité aujourd'hui

Le MPPU a tenu son séminaire habituel les 10 et 11 décembre derniers : un visioconférence. qui a rassemblé des membres d’une vingtaine de pays de 4 continents. Le MPPU rassemble des élus, des fonctionnaires des administrations, des citoyens, des étudiants en sciences poitiques qui partagent leur vécu dans ce qu’on pourrait appeler un laboratoire d’idées autour de l’inspiration de Chiara Lubich qui fonda le Mouvement des Focolari. Le président Mario Bruno – ancien maire de Alghero, Italie – a lancé le séminaire ainsi : Le Mouvement Politique Pour l’Unité aujourd’hui, réflexion et action. En voici les principaux passages :

Nous sommes à une époque de bouleversements, confrontés à de grands défis mondiaux. […] Quelle incidence peut avoir le Mouvement Politique pour l’Unité sur la pensée et l’action politiques contemporaines ?

Ce sont là les interrogations que nous nous proposons de mûrir ensemble aujourd’hui.

Né en 1996, sous l’impulsion de Chiara Lubich (fondatrice des Focolari), le MPPU se développe sur les cinq continents. C’est aujourd’hui un réseau planétaire composé de responsables politiques, de citoyens, de fonctionnaires, de diplomates et d’universitaires. Dans sa charte, le MPPU se définit comme un laboratoire international d’innovation politique.

Son but est de :

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Fraternité et bien commun

La quatrième leçon de la campagne Dare to Care a pour titre Fraternité et bien commun.

Fraternité et bien communDes articles ont déjà été consacrés à ce parcours. Rappelons-nous que #daretocare est le hashtag, le slogan, de la campagne qui, traduit littéralement, signifie « Oser prendre soin ».  C’est-à-dire prendre en charge, s’intéresser, s’occuper activement, donner de l’importance. A qui ? Aux plus fragiles, à la planète, aux institutions, à notre ville, à nos voisins, aux problèmes de notre société. Elle est initiée par les jeunes du Mouvement des Focolari et veut entrainer tous les membres… et au-delà.

#daretocare se veut une action en trois étapes : apprendre, agir et partager. Dans ce cadre, aujourd’hui, il s’agit d’apprendre avec deux formateurs, tous les deux professeurs de philosophie politique à l’Institut Universitaire Sophia de Loppiano (Italie) qui dialoguent avec cinq étudiants de l’Institut :

  • Antonio Maria Bagio qui est aussi directeur du Centre de recherche sur la politique et les droits de l’homme de ce même Institut,
  • Leidy Vargas qui est aussi professeur d’humanisme et de culture urbaine à l’Université Pontificale Bolivarienne de Colombie (Medellin).

Le dialogue a été enregistré. Les intervenants parlent en italien. Les paroles sont sous-titrées ; pour obtenir sa langue, il faut cliquer sur la roue dentée qui est en bas, à droite de l’image et faire le choix.

Une Journée internationale de la fraternité humaine

Une Journée internationale de la fraternité humaineLe 21 décembre, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté sans vote une résolution pour proclamer une Journée internationale de la fraternité humaine, chaque 4 février. L’initiative a été introduite par les Émirats arabes unis, le Bahreïn, l’Égypte et l’Arabie saoudite. En conséquence, la communauté internationale observera la Journée internationale de la fraternité humaine chaque année à partir de 2021.

 

Une Journée internationale de la fraternité humaineSelon l’agence de presse WAM, la résolution reconnaît spécifiquement la rencontre entre Sa Sainteté le Pape François et Son Éminence le Grand Imam d’Al-Azhar, Ahmed al-Tayyib, le 4 février 2019 à Abou Dhabi, qui a abouti à la signature du “Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune”. L’Assemblée générale explique la proclamation de cette journée par l’existence “d’actes qui incitent à la haine religieuse et qui menacent ainsi l’esprit de tolérance et le respect de la diversité, en particulier à l’heure où le monde affronte la crise sans précédent provoquée par la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19), qui appelle une action mondiale fondée sur l’unité, la solidarité et le renouvellement de la coopération multilatérale”. L’Assemblée se dit consciente que “la tolérance, le pluralisme, le respect mutuel et la diversité des religions et des convictions font prospérer la fraternité humaine”.

Source : le communiqué des Nations Unies, cliquer ici.

Source : le communiqué de l’agence WAM, cliquer ici.

Pour lire le Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune, cliquer ici ou télécharger le texte ici.

Les bonnes nouvelles du facteur

Les bonnes nouvelles du facteurGuido B. a quitté son travail et pris sa retraite. Un jour, il s’est installé devant son clavier pour nous narrer les bonnes nouvelles du facteur. Voici quelques épisodes :

“D’une certaine manière, je n’avais presque pas envie de quitter ce quartier de Hautepierre, car j’y ai vécu de belles relations avec diverses personnes.

Pour me rendre sur le quartier, je faisais un beau trajet à vélo avant d’arriver sur place car ce n’était pas près de la Poste.

Les débuts

Au début ce fut la galère, car le jeune facteur qui m’a montré la tournée était pressé de finir et ne m’a pas tout dit. La tournée n’était pas évidente car elle commençait par un bon nombre d’immeubles. Je passais beaucoup de temps à chercher les boîtes aux lettres. Comme j’étais pas mal en retard, il y avait les enfants sortis de l’école autour de moi et cela me déstabilisait.

Dans cette cité, on ne devait pas monter aux étages pour les recommandés car une factrice s’était fait voler son vélo. Mais parfois il fallait bien le faire pour des personnes à mobilité réduite. Un matin, j’étais allé au premier étage et le monsieur après avoir signé, m’invita à prendre un café que j’ai d’abord refusé puis accepté car je savais que derrière il y aurait la discussion.

Réclamation

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