“Sans la fraternité, aucun homme et aucun peuple n’est vraiment libre ni égal aux autres.” Cette phrase a été prononcée par Chiara Lubich dans un enregistrement vidéo destiné aux participants de la Première Journée Mondiale de l’Interdépendance (Philadelphie le 12 septembre 2003).

La première journée du congrès OnCity a commencé par une revue de presse menée par trois journalistes qui ont répertorié quelques événements des jours précédents des plus tragiques au plus positifs. Partant de ce constat qui permettait de rester dans la réalité du monde, le programme du congrès faisait, ensuite, découvrir aux participants les “outils” de lecture dont ils disposent pour regarder les souffrances et les espoirs de chaque citoyen.

Chiara Lubich et le groupe qui l’accompagnait, à Trente, en Italie, dès 1943, a toujours voulu trouver les moyens de soulager les misères rencontrées. Très tôt, Chiara Lubich s’est rendu compte que la fraternité était une clé pour y arriver. C’est le message que les organisateurs du congrès ont voulu faire passer lors de cette première journée consacrée à “la cité en dialogue”. Quel dialogue ? Celui de l’écoute, celui du respect… celui de la fraternité. Le programme a continué avec de nombreux récits du vécu dans différents pays illustrant cette recherche de dialogue.

Voici le texte complet du message de Chiara Lubich en vue de cette journée de Philadelphie en 2003, sous deux formes :

Le texte en ligne sur le site qui est consacré à Chira Lubich : cliquer ici.

Le texte dans un fichier PDF à télécharger ici.

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