Humanité Nouvelle
La fraternité : vivre ensemble
La fraternité : vivre ensemble
6/08/20
Après l’explosion dévastatrice survenue à Beyrouth le soir du 4 août, la communauté locale des Focolari et l’association Humanité Nouvelle se sont mises au travail pour répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban : les personnes touchées par la catastrophe.
L’énorme explosion du mardi 4 août à 18h10, heure locale, a causé plus de 100 morts et 4.000 blessés dans la zone proche du port de Beyrouth, la capitale libanaise. Des portes et des fenêtres en verre ont volé en éclats jusqu’à une distance de 10 kilomètres de la zone sinistrée. Le gouvernement parle d’environ 300.000 personnes sans abri.
Avant cette catastrophe, le pays des cèdres était déjà confronté à une grave crise économique, qui a été encore renforcée par les effets de la pandémie du coronavirus. Selon des sources officielles, plus de 45% de la population vit dans la pauvreté et le chômage est monté à 35%.
L’explosion du 4 août a été un autre coup dur non seulement pour l’économie et les infrastructures du Liban, mais aussi pour le moral d’un peuple qui a subi tant de violences au cours des dernières décennies.
Comme toutes les associations humanitaires, l’agence « Humanité Nouvelle » des Focolari s’est mise en marche pour répondre aux nécessités les plus urgentes au Liban. Avec l’aide de la communauté locale du Mouvement, le Centre Mariapolis « La Source » à Ain Aar près de Beyrouth a été mis à la disposition de ceux qui ont perdu leur maison. Des groupes de jeunes et d’adultes se sont rendus disponibles pour aider les familles et les personnes les plus touchées, rassemblant les besoins de différentes sortes : de la nourriture au matériel de nettoyage des maisons et des appartements.
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La coordination d’urgence du Mouvement des Focolari qui interviendra par le biais des organisations AMU et AFN a été activée. Pour ceux qui souhaitent aider, les comptes courants suivants ont été activés :
24/07/20
De Cannes, nous recevons un témoignage qui peut être intitulé “Vivre du tourisme en ce temps de Covid”. Il s’agit d’une entrevue de Claire Draillard publiée dans le bulletin du diocèse de Nice et intégré à un dossier sur la situation du tourisme à l’heure de la pandémie qui nous touche tous. Ce témoignage nous a paru tout à fait en rapport avec ce que le Mouvement Humanité Nouvelle se donne comme objectifs, notamment, celui de l’espérance.
N.B. : Pour mieux lire le texte, cliquer dessus pour le faire afficher en plus grand.
10/07/20
(re)Vivre, partager, construire
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7/07/20
27/06/20
Le samedi 20 juin s’est tenu le lancement du pathway “Dare to care”. Voici la possibilité de revoir le lancement du parcours pour oser prendre soin… de l’existence des autres, de l’environnement. Cet événement a eu lieu sous la forme d’une conférence à plusieurs voix transmise en direct par internet. Son enregistrement est maintenant disponible en ligne sur le site United World Project (Projet Monde Uni) avec la traduction opérée en direct par Rita Amidi, francophone du Liban.
Ce projet est un parcours, une interpellation dans laquelle nous engagent les jeunes du Mouvement des Focolari. Une voie avec des étapes, des paliers à franchir parce que “prendre soin” n’est pas automatique. “Oser prendre soin” nécessite de “s’abandonner” à l’empathie.
Outre les témoignages qu’ils ont donnés, les jeunes ont demandé à la professeur en philosophie sociale Elena Pulcini de leur apporter son point de vue. “Il faut éveiller ce que j’appelle des “passions” empathiques. Cependant, en même temps, le soin est resté quelque peu enfermé dans une acception essentiellement assistancielle qui, en anglais, est appelé “cure” et non “care”. Alors, moi, je m’attache à ce que “soin” soit avant tout “care”. Cela veut dire que le soin doit devenir un mode de vie.” déclare-t-elle. Et, plus loin : “J’ai beaucoup aimé un philosophe du XIXe siècle, […] Alexis de Tocqueville, qui disait que “nous devons éduquer la démocratie”.”
Affaire à suivre sur www.unitedworldproject.org/fr/ / www.facebook.com/uwpofficial/
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