La fraternité : vivre ensemble
2- Relations peuples
Vivre du tourisme en ce temps de Covid
24/07/20
De Cannes, nous recevons un témoignage qui peut être intitulé “Vivre du tourisme en ce temps de Covid”. Il s’agit d’une entrevue de Claire Draillard publiée dans le bulletin du diocèse de Nice et intégré à un dossier sur la situation du tourisme à l’heure de la pandémie qui nous touche tous. Ce témoignage nous a paru tout à fait en rapport avec ce que le Mouvement Humanité Nouvelle se donne comme objectifs, notamment, celui de l’espérance.
N.B. : Pour mieux lire le texte, cliquer dessus pour le faire afficher en plus grand.
Vivre Ensemble En Paix
15/05/20
De Cannes, nous recevons ce message : “La Journée Internationale du Vivre Ensemble en Paix, fixée par l’ONU en date du 16 mai, engage à un “vivre ensemble citoyen” promoteur de culture de paix. Elle “prend sa source à Cannes il y a sept ans lors du premier Festival du Vivre Ensemble en novembre 2011 organisé par les représentants de toutes les religions dont AÏSA.” (Cheik Khaled Bentounes dans Nice-Matin). Elle a été adoptée le 8 décembre 2017 par les 193 États membres de l’ONU.”
Cette journée sera marquée à Cannes mais dans de nombreuses villes, également. Le mouvement s’étend dans de nombreux pays. Souhaitons que le message soit entendu par les grands dirigeants.
Le message continue : “Il y a 100 ans, le 16 mai 1920, la première tentative mondiale d’unir les nations par la SDN, se soldait par un échec. La célébration de la Journée internationale du Vivre Ensemble en Paix à cette même date du 16 mai résonne pour nous comme un message d’espoir !”
“Réunis autour de l’Olivier de la Paix, place Mérimée, c’est un message d’espoir que nous adresserons à tous les citoyens cannois. De Cannes, “village mondial”, nous exprimerons notre solidarité et notre proximité à tous, particulièrement à ceux qui, dans le monde, sont le plus atteints par les conséquences de la pandémie. Nous entendrons le Manifeste du Collectif Journée Internationale du Vivre Ensemble en Paix : Mieux vivre ensemble, en réponse à la crise sanitaire mondiale et nous nous engagerons à des actes concrets de solidarité et de fraternité.”
Semaine Monde uni – 4
4/05/20
Semaine Monde uni – 4 : le programme se poursuit et nous l’accompagnons encore à notre façon.
En ce jour consacré à la paix dans le milieu professionnel, scolaire et estudiantin, nous publions le récit d’un professeur d’italien qui organisait un voyage en Italie pour ses élèves :
Professeur d’italien en banlieue Nord de Paris, j’organise un voyage de culture et d’éducation à la paix et à la fraternité pour 40 élèves. Afin d’impliquer les parents dans cet esprit de famille bien particulier qui doit imprégner chaque étape de la démarche éducative, je les convoque un samedi matin à 9h30 pour les questions pratiques mais, surtout, pour donner la parole à leurs enfants qui, déjà, sont dans ce « voyage » d’une vie où chaque acte peut construire un monde uni… ou pas.
Cependant, je me trouve obligé de décaler le rendez-vous à 10h00. J’envoie un mail à toutes les familles. À 9h30 je suis dans la salle de réunion et voilà qu’arrive une mère d’élève, genre cadre dynamique, qui n’a pas reçu le mail. Elle me prend de très haut : « Quelle organisation ! Des gens comme moi n’ont pas que ça à faire ». Je décide de l’écouter… et de rester très bas : « Madame, je vous prie de m’excuser, j’ai été moi aussi un peu occupé… mais je serais heureux de vous offrir un café ».
Il fait près de zéro de degrés. Je dois courir hors de l’école, déserte, et me dépêcher pour que le café que je lui ramène soit encore un peu chaud. J’y mets tout mon cœur et toute mon humilité : si je ne construis pas la paix avec elle, je ne pourrai pas parler de la paix devant les 100 personnes présentes plus tard. Cela marche : elle se détend enfin et tous sortent de la réunion heureux d’avoir eux aussi un avant-goût des beautés de Rome et de la beauté de la fraternité « sentie ».
Une satisfaction est que, plus tard, quelques-uns de mes élèves fonderont l’association Fratern’Aide, reconnue par l’Éducation nationale, pour une éducation à la Paix et à la Fraternité… par des jeunes et pour des jeunes.
Pour suivre les animations par les jeunes, cette semaine :
Semaine Monde Uni : Time-out pour la paix
Semaine Monde Uni – 3
3/05/20
Semaine Monde Uni – 3 : troisième jour ; nous continuons d’accompagner la campagne des jeunes.
Aujourd’hui, nous nous arrêtons sur la colère : “Comment canaliser votre colère et votre agressivité liées au confinement ?” C’était le thème abordé par Ali Rebeihi dans son émission “Grand bien vous fasse” du 15 avril dernier sur France inter. Une émission à laquelle a participé notre amie Catherine Belzung en tant que professeure de neurosciences et chercheuse à l’INSERM avec Gérard Bonnet, psychanaliste, et Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale.
Qu’est-ce qui nous énerve ? Que se passe-t-il dans notre cerveau quand nous explosons ? Que faire de notre colère alors que le confinement tape sur la tête ? Comment dériver votre colère ? Quelques conseils délivrés par des spécialistes pour apaiser nos humeurs et les conseils cinéma et télé. Confinement ou pas.
Source : www.franceinter.fr
Parce que la colère et l’agressivité ne contribuent pas à la paix et à la fraternité.
Pour suivre les animations par les jeunes, cette semaine :
Semaine Monde Uni : Time-out pour la paix
Semaine Monde Uni – 2
2/05/20
Semaine Monde Uni – 2 : aujourd’hui, nous continuons d’être en phase avec les jeunes du Mouvement des Focolari qui vivent leur deuxième rendez-vous.
Se réconcilier en famille. Nous publions, sur ce thème, le récit d’un ami sur une situation qu’il a vécue :
C’est un événement qui date de l’entrée en adolescence d’un neveu et d’une nièce ; en l’occurrence des cousins. C’est un événement grave. Enfoui quelques années, il est ressorti à l’arrivée à l’âge adulte. Conseillé par son psychologue, l’un des deux a porté plainte. Terribles conséquences sur l’équilibre des familles et sur les relations entre les familles.
Je sentais la grand-mère désemparée de voir sa famille déchirée ; j’ai tenté quelque chose. Les deux ont accepté de se rencontrer en ma présence. L’entrevue n’a pas eu de résultats mais la rancœur n’a pas empiré. Toujours en relation avec les deux neveux, je peux dire que les tensions se sont apaisées sans, pour autant, que la réconciliation soit prononcée. Il reste, aussi, du chemin à faire de la part du frère et de la sœur d’un des deux.
Il faudra beaucoup de temps. Dans cette situation, je pense au renard du Petit Prince : « Apprivoise-moi ! ».
Pour suivre les animations par les jeunes, cette semaine :
Semaine Monde Uni : Time-out pour la paix
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