5- Vie sociale, Art

Oser être attentif à l’autre

Après le parcours “À temps pour la paix”, voici un nouveau projet proposé par United World Project (Projet Monde Uni), celui de “Oser être attentif à l’autre“. Son lancement aura lieu le samedi 20 juin prochain lors d’une liaison vidéo internationale.

Oser être attentif à l'autre

Le nouveau parcours 2020/2021 sera lancée le 20 juin 2020 et portera sur la Citoyenneté active et la Politique pour l’Unité qui fera travailler de plus en plus ensemble :

Pathway #daretocare / Parcours Être attentif à l’autre
Mettre la sollicitude au centre des communautés, de la citoyenneté et de la politique

La pandémie de Covid19 et les événements qui se sont succédés à l’échelle mondiale nous montrent plus que jamais combien il est urgent et nécessaire de prendre soin de ceux qui nous entourent, sur la planète, dans la société, chez les minorités et dans les institutions. Thèmes que le Pape François a abordés avec l’Encyclique Laudato si’ – « Pour une prise en charge de la maison commune » – pour lesquels il a également promu une année spéciale de réflexion (24 mai 2020-24 mai 2021) ramenant ainsi l’attention de tous au thème des soins, qui inclut les personnes, les peuples, au point d’embrasser l’ensemble de la création.

Chiara Lubich, notre inspiratrice, a parlé de la vocation de la politique à être « l’amour des amours ». Nous pensons que le concept de « prendre soin » peut exprimer très efficacement ce type d’amour, d’amour social, qui implique directement l’action politique et l’exercice de la citoyenneté. La politique et la citoyenneté que nous comprenons comme des domaines qui, d’une certaine manière, englobent tous les aspects de la vie et qui, par conséquent, dépendent également de chacun de nous, chacun en tant que responsable de son propre « mètre carré ».
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L’enseignement que la crise du coronavirus peut offrir aux hommes.

Maria Voce, présidente du Mouvement des Focolari, s’entretient avec le rabbin Alon Goshen-Gottstein, Directeur de « l’Elijah Interfaith Institute » de Jérusalem au sujet de l’enseignement que la crise du coronavirus peut offrir aux hommes. Elle parle des avancées possibles que la pandémie peut apporter au monde : la solidarité, l’égalité entre les hommes, le souci de l’environnement.

Formes et couleurs

En cette période si particulière, Dominique Baptiste a trouvé l’inspiration et nous en partage le résultat. Il l’a appelé “Formes et couleurs” :

Émotions collectives et personnelles en ce temps de confinement.

Formes et couleurs pour exprimer ce que vit actuellement l’Humanité de la Planète.

En composant ce collage, j’ai en moi-même versé des larmes, mais pris conscience que ma foi était présente dans ce que je réalisais.

Des mots traversaient ma pensée :

SOUFFRANCE – TRISTESSE – ISOLEMENT, mais je décidais d’orienter mon interprétation dans un courant d’ESPÉRANCE ; à certains moments des émotions m’envahissaient, alors je prenais une pause agréable dans mon petit jardin avec une tisane et des fruits, puis je retournais à mes découpages et assemblages.

MERCI pour ce don reçu qui doit être mis à profit pour exprimer l’HARMONIE, la BEAUTÉ l’ESPÉRANCE.

Formes et couleurs

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“Par delà les murs…” a sa musique

Marie-Laure Owalé a été inspirée et son poème “Par-delà les murs…” a sa musique. Une chanson douce qui caresse nos douleurs et nos tensions.

Maintenant, les portes sont ouvertes mais nous pouvons conserver son message.

Merci, Marie-Laure !"Par delà les murs..." a sa musique

Semaine Monde Uni – 7

Semaine Monde Uni – 7 : c’est le dernier jour mais les jeunes se disent que cela ne s’arrête pas, que ces 7 jours sont un élan.

Semaine Monde Uni - 7

Pouvons-nous espérer une société plus fraternelle et plus harmonieuse, sans y inclure la participation réelle et active des personnes les plus petites, les plus humbles, les plus vulnérables ? Intégrées, elles peuvent alors exprimer tout ce qu’il leur est possible de donner pour le plus grand bien de tous. Ancien éducateur, Julien a toujours été un “donneur d’alerte” sur ce sujet :

Pendant trente ans, en tant qu’éducateur spécialisé, j’ai eu pour mission de participer activement à l’inclusion en milieu ordinaire de travail de nombre de personnes en situation de handicap mental ou psychique. J’ai ainsi pu prendre la mesure de la fracture très importante qui existe bel et bien entre les personnes valides et celles nommées handicapées, inadaptées, etc. Il y aurait beaucoup à dire.

Un jeune était élève d’un Institut médico-professionnel où je travaillais. Très mal dans sa peau, psychologiquement perturbé, il pratiquait régulièrement sur ses bras des scarifications. De ses manches de chemise, toujours bien boutonnées, dépassaient des pansements imbibés de sang. Pas très attirant… Le maire d’une commune de l’Essonne, avec lequel j’avais une forte amitié, a bien voulu l’accepter en stage au sein même de la mairie pour effectuer des tâches simples. Une dame, responsable de service, a accepté d’assurer auprès de lui un accompagnement rapproché et soutenu, de grande qualité. Le temps a passé et, après plusieurs années, les scarifications ont fini par disparaitre. Tout n’a pas toujours été facile, mais le jeune a progressivement retrouvé une vie normale et une vraie joie de vivre. Il a été embauché en contrat à durée indéterminée, en qualité de coursier. Il est apprécié pour sa gentillesse, sa bonne humeur, sa douceur, son attention aux autres.

Sans doute pouvons-nous tous faire quelque chose afin que les dits « invalides », au sens large, puissent être véritablement acceptés et intégrés au sein de la société, et par là même être en mesure de pouvoir donner le meilleur d’elles-mêmes, exprimer et faire vivre des valeurs qui touchent le plus souvent à davantage  d’amitié, d’humanité et d’unité entre les personnes.

Pour suivre les animations par les jeunes, cette semaine :
Semaine Monde Uni : Time-out pour la paix

Aujourd’hui : Semaine monde Uni - 7