La fraternité : vivre ensemble
Marc BÉCHU
Cette utilisateur n'a partagé aucune information biographique
Article par Marc BÉCHU
Labo de la Fraternité
20/10/19
Intéressons-nous au travail du Labo de la Fraternité.
Après la terrible année 2015, le Labo de la Fraternité a été créé pour rassembler les forces qui construisent des anticorps face à la haine et au terrorisme. Le Labo de la Fraternité est piloté par 8 organisations fondatrices et rassemble aussi 12 autres acteurs de la fraternité. Un outil important est son Baromètre de la fraternité.
Depuis 2016, le Labo observe les réactions et le comportement des Français vis à vis de la fraternité, de la diversité, du vivre ensemble. nous ressortons, ici, quelques résultats qui peuvent inspirer notre propre action en l’enrichissant de ces informations.
Ce Baromètre nous révèle que si près de 70 % des français considèrent leur pays comme généreux, seulement un peu plus de la moitié le considèrent comme fraternels et deux tiers des Français expriment encore une méfiance envers autrui. La suite >
L’accueil d’une famille de réfugiés
19/10/19
C’est l’histoire de l’accueil d’une famille de réfugiés albanais. C’est une histoire qui commence au début de juillet 2017. Peut-être même avant, lorsque la décision a été prise de quitter l’Albanie, disant au-revoir à leurs amis des Focolari, là-bas ; la vie y étant devenue impossible pour eux.
Les obstacles qu’ils ont rencontrés sur leur chemin au début (panne de voiture et divers changements) « ne les ont pas détournés de la route » selon l’expression du père de famille. Partis sans adresses et avec les seuls numéros de téléphone en Albanie, c’est providentiellement qu’ils se sont retrouvés accueillis dans la communauté des Focolari de Châtillon, en région parisienne. Ils y sont restés plusieurs semaines.
Le signe pour la communauté du nord de la Vendée
La suite – et le début pour nous – se déroule au cours du rassemblement des Focolari de 2017, à Ploërmel. Bernard, de la communauté de Châtillon, présente la situation et suggère à Philippe que la famille serait bien accueillie en Vendée. Après quelques jours, celui-ci a estimé pouvoir recevoir la famille chez lui et il engage un plan : il écrit à quelques personnes de sa paroisse et il pose la question de confiance à nous, de la communauté Focolari du nord de la Vendée : « Si je réponds positivement à Bernard, m’accompagnez-vous ? ».
La suite >
Bioéthique et dialogue
10/10/19
En cette époque où les tensions sont vives sur différents sujets de société, nous publions ici le texte de l’intervention qui a été faite par Catherine Belzung pour un groupe qui travaille sur les intérêts de la fraternité. Donnée en mai 2018 alors qu’approchait le débat sur la bioéthique, elle a situé son intervention dans le contexte : Bioéthique et dialogue.
En préambule, elle signifie qu’elle ne se prononcera pas de façon définitive sur une originalité en termes de contenu anthropologique mais que le point de vue qu’elle veut défendre est la promotion du dialogue entre personnes de convictions différentes. L’originalité réside donc avant tout dans la méthode, et dans son but : la recherche de l’unité.
(Pour ceux qui préfèrent la lecture sur papier, un fichier PDF est téléchargeable en bas de page.)
La suite >
Comment inventer des liens dans une France fracturée ?
24/09/19
Refaire société. Comment inventer des liens dans une France fracturée ? Les 16 et 17 novembre 2019 à l’Université Catholique de Lille.
En 2019, les Semaines sociales, dans un dialogue constant avec d’autres acteurs sociaux, prévoient de dresser un diagnostic qui mette en lumière les failles de notre société, mais aussi les expériences qui marchent, qui recréent du lien entre les personnes et construisent un monde plus équitable.
- Découvrez le programme ponctué de conférences, de débats et d’échanges autour de cette question des fractures sociales (à télécharger en pdf sur le site)
- Inscrivez-vous à la 93e rencontre des SSF
- Toutes les informations pratiques ici
[Mise à jour du 01/10/2019] :
Le leadership est une chose sérieuse
21/09/19
Michele Zanzucchi observe le travail qui est conduit par différents organes du Mouvement des Focolari et en conclut que le leadership est une chose sérieuse. Apprendre à agir comme « locomotives » pour des groupes et des projets est un processus fondamental à une époque où le sens de l’autorité faiblit, où les réseaux sociaux dictent leurs lois et où la politique semble être partout en crise. Ce sont les projets du Mouvement Politique pour l’Unité, de NetOne, d’Humanité Nouvelle, de Sophia, de l’Amu, de Familles Nouvelles, de Enfants pour l’Unité et d’autres.
C’est l’un des mots clés du début du troisième millénaire : « leadership »[1]. Parfois le terme est galvaudé, et on ne sait plus ce qu’il signifie dans les faits, pour diverses raisons, déterminées par les phénomènes de la mondialisation et de la révolution numérique, avec la crise parallèle des modèles traditionnels de gouvernance. C’est vérifié tant au niveau de la micro société (paroisses, associations, quartiers…) que des grosses organisations (entreprises, gouvernements, administrations…). Et cela arrive presque partout. C’est pourquoi de nombreux organes culturels des Focolari s’y intéressent, prenant évidemment le problème sous différents angles et initiant des processus qui sont souvent synergiques[2].
La suite >
Les commentaires