La fraternité : vivre ensemble
Europe : c’est le moment d’en parler – 5
Europe : c’est le moment d’en parler – 5. La réflexion du jour.
La question des migrants enflamme le débat européen dans la plupart des pays concernés par les prochaines élections européennes. En effet, c’est dans l’ordre des choses : aucune civilisation ne peut avoir le cynisme et l’inhumanité d’abandonner des naufragés au milieu de la mer.
L’Europe que nous souhaitons n’abandonne personne au milieu de la mer ou sur le bord de la rue.
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Imprimer l'article | Cette entrée a été posté par Marc BÉCHU le 16/03/2019 à 08:00, et placée dans C- Mt Pol. pour l'Unité. Vous pouvez suivre les réponses à cette entrée via RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse, ou bien un trackback depuis votre site. |
about 5 years ago
Voila un des talon d’Achille de l’Europe (parmi d’autres défauts congénitaux) : l’exigence de consensus absolu pour toutes les décisions politiques ou fiscales, ou statut à 28 états… Par contre, il me semble que pour les décisions économiques dans le sens d’un libéralisme totalitaire… les décisions se prennent comme par miracle…
Il s’agira, avant de voter, de trouver l’erreur… et de réserver nos voix aux candidats
about 5 years ago
Nous les hommes nous avons toujours une difficultés à harmoniser le micro (être le bon samaritain de notre prochain) et le macro ( la politique locale, nationale, européenne, mondiale).
C’est comme en physique ou on a la mécanique quantitique pour l’infini petit et la mécanique einsteinienne pour l’infiniment grand mais on a pas encore unifié les deux approches.
Chiara laisse entrevoir que l’amour trinitaire est une voie pour harmoniser le micro et le macro. Si l’amour au niveau micro c’est assez évident, au niveau macro (européen par exemple) existe-t-il une ligne politique proposée à nos suffrages qui soient à la hauteur de cette ambition nécessaire?
about 5 years ago
La question des migrants est très problématique. C’est évident qu’on a pas le droit d’abandonner des gens désespérés au milieu de la mer, alors qu’on se définit civilisés. Le problème est comment se protéger, une fois qu’ils rentrent en Europe, de ceux quelques individus radicalisés qui viennent pour semer la terreur ou’ imposer leur pensée? Et comment faire pour qu’ils soient réellement intégrés et puissent envisage par la suite de rentrer dans leur pays pour participer à son développement, lorsque leur émigration est provoqué évidemment par des raison d ‘extrême pauvreté et non pas de guerre ?
Comment trouver des solutions humaines et cohérentes pour tous dans notre Europe actuellement aussi divisée?