5- Vie sociale, Art

Hommage d’un jeune à ses parents

Hommage d'un jeune à ses parentsC’était il y a quelques semaines, nous avons été invités pour les 30 ans de mariage d’un couple. Au cours de la soirée qui rassemblait une trentaine de personnes – parents et amis – un de leurs quatre garçons a voulu s’exprimer avec sa personnalité et donner de soi, comme ses frères. Il avait préparé un texte que nous appellerons : hommage d’un jeune à ses parents.

C’est avec émotion que nous avons entendu ce garçon dont vous comprendrez, à la lecture, qu’il est porteur d’un handicap. Il a lu le texte qu’il avait écrit lui-même. Ce garçon s’accroche à la vie malgré ses limites : il persévère et il a obtenu son diplôme de paysagiste puis un poste dans une entreprise. Ses parents sont attentifs à le soutenir quand cela se complique pour lui.

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Chaunu rend hommage à sa manière…

Dans l’édition de Ouest-France de ce mardi 16 avril 2019, le dessinateur-caricaturiste Chaunu rend hommage à sa manière, à la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Chaunu rend hommage à sa manière

Journée de la femme

Journée de la femmePour la journée de la femme 2019, voici quelques initiatives de plusieurs d’entre elles découvertes dans les communications du Mouvement des Focolari et recensées par notre ami Guido B.

En Inde, Patricia de Mumbai (Bombay), ancienne joueuse internationale de hockey, découvre un enfant qui vole des portables pour pouvoir manger. Elle l’invite à venir jouer au foot en lui offrant les chaussures, d’autres jeunes viennent aussi et partagent avec lui le repas qu’ils ont apporté. Les enfants n’apprécient pas les noms de leur quartier : « Voleurs de maison », « Voleurs des fruits » ; alors elle donne à chaque quartier un nom de couleur. Elle tient aussi à ce qu’ils aillent à l’école et va même voir leur cahier de notes. Les jeunes disent d’elle : « C’est un ange ».

Au Kenya, Eunice, criminologue, raconte comment elle cherche à comprendre les personnes qui ont fait des délits et comment elle réussit à régler par exemple un vol entre des connaissances. Ses collègues lui avaient dit de mettre le voleur en prison mais elle est allée voir les deux personnes. Le voleur, père de jeunes enfants a été d’accord pour restituer toute la somme et l’autre pour lui pardonner.
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Comment appréhender cette crise de société ?

Comment appréhender cette crise de société ?Nous nous sommes demandés : comment appréhender cette crise de société ? Une crise qui est apparue sans crier gare.

Un groupe s’est formé sur l’invitation de Frédéric pour échanger sur cette actualité. Le dialogue a eu lieu sous la forme d’une conversation par conférence téléphonique que permet maintenant la technologie. Contrainte ? Oui ! Cette forme fait appel à l’écoute, à la discipline, au respect des règles émises antérieurement ou au début de la séquence. Voici ce qui s’est dégagé de cet échange.

Tout d’abord, on peut dire que les points de vue, les sensibilités se sont exprimés. Les sept présents étaient motivés dès l’annonce de leur participation. Et les analyses étaient différentes :
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Une démarche concertée a plus de chance…

Une démarche concertée a plus de chance...Le récit suivant nous montre qu’une démarche concertée a plus de chance… d’aboutir. Cela demande une attitude d’empathie envers les co-rédacteurs et envers la destinatrice qui détient la décision. Un récit pas si banal parce qu’il montre l’attention constante de ce groupe envers son entourage ; ce que nous appelons “l’harmonie sociale”.

“Nous sommes quelques amis à visiter régulièrement l’une d’entre nous dans sa résidence retraite.  Il y a environ deux ans, nous nous sommes assez vite aperçus de la difficulté pour les résidents de sortir à l’extérieur avec leur déambulateur, la porte d’entrée étant particulièrement lourde et difficile à maintenir quand on a les mains occupées.

Nous avons donc proposé à notre amie résidente d’en parler avec la directrice et de suggérer de rendre cette porte automatique afin de faciliter les sorties et les entrées. Puis nous avons pensé qu’une lettre était peut être plus indiquée pour pouvoir bien exprimer les besoins des personnes concernées. Trois d’entre nous ont pris le temps de se partager leurs idées par échange de courriels ou en se visitant et en la soumettant, bien sûr, à la principale intéressée. 

Une lettre faisant consensus a été envoyée à la directrice et quelque temps plus tard sa réponse nous indiquait qu’elle prenait en compte nos remarques « fort judicieuses », écrivait-elle, et que le nécessaire allait être fait. Nous remerciant d’avoir eu le souci de cette amélioration…

Et la porte automatique fonctionne toujours !”

Catherine, Marie-Claude, François… et Colette